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Visite à Tarija

À l’occasion d’un séjour en Bolivie, dont une semaine passée à Tarija du 22 au 30 octobre 2022, les multiples séances de travail et les moments conviviaux vécus avec l’équipe d’Edyfu ont généré des sentiments très forts. 

 

Si la tristesse liée au départ de Vincent est toujours perceptible, l’incroyable énergie de chacun a permis de surmonter cette année difficile, à beaucoup d’égards. La cohésion de l’équipe autour de Cecilia, ancienne collègue et nouvelle directrice, donne un nouvel élan aux projets dédiés aux enfants et aux familles. 

 

Cinq photos marquantes peuvent illustrer ce séjour : 

 

1/ L’unité productive

L’unité productive prend son envol grâce à la mise en conformité des locaux et, pour la première fois, au décrochage de gros contrats, notamment avec la mairie de Tarija pour les « petits déjeuners scolaires » des écoles. Les deux entités de production ont dû faire appel, chacune, à 16 femmes des quartiers avoisinants ! Quel taux d’embauche impressionnant et quel bénéfice pour les centres !

 

2/l’équipe

Tous les membres de l’équipe d’Edyfu sont soudés et travaillent d’arrache-pied, avec enthousiasme, pour réussir leur mission au sein des centres de Morros Blancos (Centre Amanecer) et de La Libélula. La directrice, Cecilia –assistante sociale et avocate– est une personne ouverte, sensible et sympathique. 

 

3/ L’appui scolaire

Les enfants et adolescents accusent des retards scolaires sévères à cause de la pandémie qui les a éloignés de l’école pendant deux ans. Le local qui accueillait l’atelier informatique est mis à disposition des plus âgés pour un appui scolaire approprié et ciblé. 

 

4/ Les potagers urbains et la floriculture

Les potagers urbains se développent et les projets agricoles aussi. Ainsi, le centre Amanecer accueille désormais un poulailler et des bacs à compost fonctionnant à l’aide de la lombriculture. Des plates-bandes cultivées sur le principe de la permaculture produisent les légumes pour le réfectoire des enfants, ou servent à l’expérimentation pour écoler les femmes du quartier à la floriculture. 

 

 5/Les enfants

Enfin, n’oublions pas les enfants pour lesquels on se bat, tant à Tarija, qu’en Belgique. Derrière ces bouilles merveilleuses, se cachent des situations familiales poignantes. Quoi de plus convaincant pour nourrir notre détermination à leur offrir un avenir positif ?   

 

Sophie Torfs